quarta-feira, 30 de janeiro de 2013

Mort de Louis de Funès, 30 ans déjà



Cela fait déjà 30 ans que l'acteur Louis de Funès nous a quittés mais il occupe toujours une place importante dans le cœur des Français. Ses plus grands classiques ont beau être programmés tous les ans à la télévision, ils remportent toujours le même succès. Pour preuve : 5,6 millions de téléspectateurs étaient au rendez-vous le 1er janvier dernier pour regarder "Le Corniaud" et 6 millions se sont régalés devant "Les Aventures de Rabbi Jacob". S'il continue à autant plaire, c'est que Louis de Funès a réussi à toucher à la fois les enfants et les parents, grâce à ses mimiques et aux personnages qu'il a interprétés. En effet, ses rôles tournent en dérision (c'est notre "mot du jour" !) tous les défauts de l'homme : râleur, méprisant, lâche, menteur, égoïste... Mais pour arriver à une telle réussite, l'acteur a travaillé dur : au total, il a joué dans près de 140 films !
 article retiré du site les Petits Citoyens du 30 janvier


terça-feira, 29 de janeiro de 2013

La lutte fait son cirque


 Le 29 janvier, les meilleurs lutteurs français vont affronter l'Allemagne, lors d'une soirée spectacle à Paris.
C'est la 7e année que les meilleurs lutteurs de l'équipe de France défient une autre nation. Le 29 janvier, c'est un adversaire de taille : l'Allemagne, qui a été invité au Cirque d'Hiver à Paris. Emmenés par Steeve Guenot, double médaillé olympique (or en 2008, bronze en 2012), les lutteurs français vont ainsi pouvoir prendre leurs marques. Ce sera un excellent échauffement avant les Championnats d'Europe (en mars) et du monde (en septembre).
Y aller
La lutte fait son cirque
Mardi 29 Janvier à 20h au Cirque d'Hiver Bouglione
Places disponibles sur www.fflutte.com
Prix : 15 euros
Repères
La lutte est l'un des plus anciens sports olympiques (708 avant Jésus-Christ).
C'est un sport de combat, où les deux adversaires s'affrontent à mains nues.
Pour gagner un combat, il faut maintenir les épaules de son adversaire plaquées sur le tapis.
Il existe trois catégories dans la lutte pratiquée en compétition.
Dans la lutte gréco-romaine, les lutteurs ne peuvent utiliser que leurs bras et ne peuvent attaquer que le haut du corps.
Dans la lutte libre, le règlement autorise des prises sur tout le corps.
Les règles de la lutte libre féminine sont très proches de la lutte libre, mais certaines prises, qui pourraient être dangereuses pour les femmes sont interdites.
article retiré du site journal des enfants du 29 janvier 

François Gabart a remporté le Vendée Globe


A seulement 29 ans, François Gabart peut être très fier : non seulement il est le plus jeune skipper a voir remporté le Vendée Globe mais il vient en plus de battre un nouveau record en terminant la course en 78 jours. Il est arrivé aux Sables-d'Olonne dimanche, suivi de très près par le Français Armel Le Cléac' qui est arrivé un peu plus de trois heures après lui. François Gabart a mis six jours de moins que Michel Desjoyeaux en 2009. Ce dernier avait mis 84 jours à faire son tour du monde et c'est lui qui a entraîné notre jeune vainqueur de cette année.
article retiré du site les petits citoyens du 29 janvier.

segunda-feira, 28 de janeiro de 2013

Libération de Florence Cassez


Tu en as sûrement entendu parler la semaine dernière : la française Florence Cassez qui était en prison au Mexique a finalement été libérée et elle a donc pu revenir en France. Soupçonnée d'avoir été la complice (c'est notre "mot du jour" !) d'un kidnappeur (une personne qui enlève des gens), elle avait été condamnée en 2008 à une peine de 96 ans de prison. L?année suivante, la justice mexicaine avait réduit sa peine à 60 ans. La jeune femme a eu beau nier les faits qui lui étaient reprochés, la justice mexicaine est restée sur sa position. En France, des célébrités et beaucoup d'autres personnes lui ont apporté leur soutien, alors qu'au Mexique, une majorité des gens pensent qu'elle est coupable. Mais, le manque de sérieux dans le dossier de Florence Cassez et le non respect de certaines lois essentielles ont poussé le tribunal de Mexico à réétudier l'affaire. Finalement, les juges ont annulé sa condamnation et là voilà donc de retour en France après sept ans d'emprisonnement.
article retiré du site les petits citoyens

duo


terça-feira, 22 de janeiro de 2013

Vague de froid sur la France



Depuis une semaine, tu en entends parler à la télé, à la radio et dans les journaux : la France est plongée dans le froid et la neige. Évidemment, comme nous sommes en hiver, cela n'a rien de vraiment étonnant, mais cela n'empêche pas les journalistes de nous en parler ! D'ailleurs, dans leur langage, traiter de ce genre d'info' porte un nom : c'est ce qu'on appelle un marronnier (c'est notre "mot du jour" !). Ceci dit, il faut reconnaître que la neige a bien semé la pagaille un peu partout dans le pays : la circulation des voitures et des transports en commun est très perturbée ; tu habites peut-être d'ailleurs dans un département où les transports scolaires n'ont pas le droit de circuler à cause de la neige et du verglas. Dans toute l'Europe, de nombreux vols d'avions ont aussi été annulés. Si ta région est touchée par cette vague de froid, nous t'invitons donc à bien te couvrir et à éviter la route.
article retiré du site le petit citoyen du 22 janvier.

sexta-feira, 18 de janeiro de 2013

Semaine des collaborateurs , articles choisis par Rafael et João Cruz





L'armée française en position d'attente dans l'ouest du Mali
BAMAKO/PARIS (Reuters) - Les soldats français au Mali semblent être entrés dans une guerre d'usure face aux rebelles islamistes qui contrôlent Diabali, petite ville du centre-ouest du pays, en attendant l'arrivée des premiers renforts ouest-africains.
La France a lancé mercredi une opération terrestre contre l'alliance islamiste composée des groupes locaux Ansar Dine et le Mouvement pour l'unicité et le djihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), mais aussi des djihadistes d'Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Les troupes françaises sont arrivées aux portes de Diabali, à 360 km au nord de Bamako, l'armée malienne s'efforçant de son côté de boucler la frontière avec la Mauritanie voisine pour couper la retraite aux islamistes.
La France n'a cependant pas lancé d'assaut contre la ville, évoquant notamment le souci de protéger la population civile, les rebelles étant embusqués à l'intérieur des maisons.
Toutes les communications avec Diabali ont été coupées, mais les habitants qui ont pu fuir la ville ont commencé à livrer des témoignages sur les combats qui s'y déroulent.
"Les islamistes sont nombreux à Diabali. A chaque fois qu'ils entendent un avion, ils se précipitent à l'intérieur des maisons et traumatisent leurs habitants", a raconté une femme qui a réussi à partir dans la nuit avec ses trois enfants.
"Nous avons compté huit véhicules brûlés", a témoigné de son côté le maire de Diabali, Salif Ouedrago, interrogé jeudi par la radio malienne après avoir fui la ville mercredi après-midi. "Il y avait des morts du côté des djihadistes. Ils les ont enterrés hier (mercredi)", a-t-il affirmé.
Un porte-parole du Mujao a parlé mercredi de bombardements de l'armée française, mais assuré qu'aucun engagement au sol n'avait eu lieu dans la ville, ce qu'a confirmé un porte-parole du ministère français de la Défense. "Il y a des accrochages, mais dans un autre secteur", a-t-il dit, sans plus de précision.
LES FORCES AFRICAINES ARRIVENT
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a lui aussi parlé de combats en cours. "Il y a eu des combats hier (mercredi), au sol et parfois aériens. Il y en a eu cette nuit et il y en a en ce moment", a-t-il dit en marge du lancement d'une campagne de recrutement de l'armée de terre. "Il y a désormais 1.400 militaires français au Mali", a-t-il précisé.
L'armée malienne a de son côté dépêché des renforts à Banamba, une ville entre Bamako et la frontière avec la Mauritanie, où Aqmi dispose de camps d'entraînement et où des mouvements de groupes islamistes ont été repérés.
Un habitant de Banamba a confirmé l'arrivée de soldats dans cette ville située à 140 km au nord de la capitale malienne.
"Banamba est en état d'alerte", dit-on de source militaire malienne. "Les troupes nigérianes qui sont attendues à Bamako aujourd'hui pourraient y être déployées pour sécuriser la zone."
Le Nigeria a promis de fournir quelque 900 soldats à la force d'intervention d'urgence de 2.000 hommes que les chefs d'état-major de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'ouest (Cédéao) ont accepté de mettre en place.
Une colonne de véhicules blindés transportant environ 200 soldats nigériens, mais aussi des camions-citernes et des ambulances, attend par ailleurs à la frontière entre le Niger et le Mali, ont rapporté des témoins.
La Cédéao prévoyait à l'origine de déployer d'ici septembre 3.300 soldats sous mandat des Nations unies. Mais l'offensive des islamistes la semaine dernière en direction de Bamako et la réaction française ont bousculé ce calendrier. Les effectifs engagés pourraient être finalement bien supérieurs.
Mercredi, le chef de la diplomatie tchadienne a annoncé que son pays allait envoyer 2.000 soldats, qui comptent parmi les mieux entraînés de la région.
"On a vu un certain nombre de troupes opérationnelles arriver ces derniers jours sur le sol malien", se félicite-t-on de source gouvernementale française, parlant d'une "accélération" du processus.
Avec Tiemoko Diallo à Bamako et Gérard Bon à Paris, Tangi Salaün pour le service français, édité par Gilles Trequesser








Open d'Australie: les Français reçus cinq sur six à Melbourne
MELBOURNE (Reuters) - Dans l'étuve de Melbourne, avec des températures proches de 40°, les Français ont frôlé le carton plein jeudi à l'Open d'Australie en qualifiant cinq joueurs pour le troisième tour : Jo-Wilfried Tsonga, Gilles Simon, Jérémy Chardy, Gaël Monfils et Richard Gasquet.
Seule une ombre est venue noircir ce tableau : l'élimination de Kristina Mladenovic, battue 6-4 6-3 par l'Américaine Sloane Stephens.
Les résultats des matches de jeudi et le hasard du tirage au sort de Melbourne font qu'il y aura au moins un Français en huitième de finale du premier tournoi du Grand Chelem de l'année puisque que Gilles Simon et Gaël Monfils s'affronteront au troisième tour.
Chef de file de la délégation tricolore, Jo-Wilfried Tsonga (n°7) a servi d'éclaireur de cette journée faste en dominant en fin de matinée le Japonais Go Soeda, 73e mondial, en trois sets, 6-3 7-6 6-3.
Samedi, le Français partira favori face à Blaz Kavcic, 93e mondial, d'autant que le Slovène a fini sa partie en cinq sets face à l'Australien James Duckworth totalement exténué.
De son côté, Gaël Monfils, 86e mondial, a de nouveau offert un spectacle rare lors de son succès en cinq sets et 3h37 de jeu face au Taiwainais Yen-Hsun Lu (7-6 4-6 0-6 6-1 8-6).
Le Français a conclu dans la fébrilité lors de sa sixième balle de match après avoir commis des doubles fautes sur les quatre précédentes occasions. Au total, le Parisien a rendu une copie illisible avec 29 aces pour 23 doubles fautes.


 Les terroristes étaient très bien préparés et connaissaient le site"


Le Monde.fr a pu recueillir un témoignage fiable, sous couvert de l'anonymat, racontant l'assaut de la "base de vie". Il décrit des terroristes organisés, qui se sont livrés à une prise d'otage méthodique et visiblement préparée.

Sur l'assaut

"[Mercredi] à l'aube, des tirs se font entendre dans la base de vie à In Amenas. La première attaque visait un bus qui emmenait des voyageurs vers l'aéroport. L'attaque a fait des blessés, car les bus sont toujours escortés par des véhicules de sécurité."

"La base de vie est directement collée à une petite caserne de gendarmes, qui n'ont pas pu repousser l'assaut. L'un des employés, un expatrié, a entendu les tirs et s'est dirigé vers des hommes en combinaisons militaires pour chercher refuge. Il s'agissait de terroristes qui étaient justement vêtus comme cela pour tromper les gens sur place."

"Les autres employés, qui étaient dans leurs chambres et un peu partout sur la base, sont restés sur place par mesure de sécurité. Lorsqu'il y a une attaque, les consignes sont de rester sur place, et de se cacher."

"Après avoir pris contrôle de la base de vie, les terroristes ont fait une fouille de toutes les chambres à la recherche d'otages, mais surtout à la recherche d'expatriés. Sur la base, il y a des blocs, chacun contenant huit chambres à peu près."

Sur le groupe de preneurs d'otages

"Les terroristes étaient, semble-t-il, de plusieurs nationalités : un Egyptien, un Tunisien, un Algérien et un homme noir, probablement nigérien ou malien. Impossible de savoir combien les terroristes étaient au total. L'un d'entre eux parlait l'anglais avec un accent parfait."

"Les terroristes étaient très bien préparés, connaissaient le site, la base de vie et le complexe qui se trouve en face, ils ont coupé la production immédiatement après avoir pris le contrôle de l'usine."

Sur la "libération" des otages algériens

"Les otages algériens étaient dans le foyer, un immeuble qui sert de salle de jeu, d'accueil et de cybercafé. Au moment du premier tir d'avion [au début de l'assaut, NDLR], les Algériens dans un moment de panique, ont forcé la sortie de secours, qui était bloquée. Il y a eu un mouvement de panique général ; les terroristes, qui étaient à ce moment-là au restaurant, n'ont pas pu les empêcher de fuir ; entre quatre cents et six cents personnes, qui étaient entassées comme des sardines, ont ainsi pu fuir."




Français de l'étranger : l'aide à la scolarité ne favorise plus les familles aisées


La question est éminemment politique. La manière de la poser aussi. On peut sedemander pourquoi les impôts des résidents français financeraient les frais de scolarité des 300 000 enfants d'expatriés qui, le plus souvent, paient leurs impôtshors de France. On peut aussi se demander pourquoi les petits Français du bout du monde n'auraient pas accès à une aide à la scolarité quand ceux qui grandissent en France ont une école gratuite. Ces questions prennent une résonance particulière avec le débat sur les exilés fiscaux et la raréfaction de l'argent public.

Au nom de la francophonie, la France dispose d'un réseau unique de 500 établissements dans 148 pays. Les financements publics ne permettent plus d'encouvrir tous les frais et les droits de scolarité demandés aux familles sont d'environ 4 000 euros annuels. Les familles françaises qui font le choix de ces établissements sont aidées par des bourses.

Ce dispositif, qui n'avait pas bougé depuis 1990, a été renforcé sous le mandat deNicolas Sarkozy par le remboursement intégral des frais de scolarité des lycéens... Mesure prise à une époque où le fils du chef de l'Etat était scolarisé àNew York, dans un établissement à 20 000 euros l'année.

A peine installée dans sa fonction, Hélène Conway-Mouret, la ministre déléguée aux Français de l'étranger, a supprimé la prise en charge des frais de scolarité pour les lycéens (PEC) de 2007, mesure critiquée même à droite comme onéreuse et injuste, avant de s'attaquer à la refonte des conditions d'accès aux bourses.

12 MILLIONS D'EUROS POUR 776 FAMILLES FRANÇAISES AUX ETATS-UNIS

Car à côté de la PEC, qui distribuait 33 millions d'euros sans prise en compte du revenu des familles, existent des bourses sociales. Au budget 2013, 110 millions d'euros seront distribués et Mme Conway-Mouret, jugeant que les critères d'octroi"privilégiaient trop les familles au train de vie le plus élevé", a changé les règles.

En ouvrant le livre des comptes 2011, la ministre est tombée sur quelques curiosités qui ont conforté ce qu'elle avait vu sur le terrain. Ainsi, en 2011, unefamille de Français installée à Londres et gagnant 170 000 euros annuels s'est vue rembourser 41 % des 16 000 euros de frais de scolarité qu'elle déboursait pour ses deux enfants inscrits dans l'école bilingue.

Une autre, expatriée à Houston aux Etats-Unis, était aidée à hauteur de 76 % pour ses 26 000 euros annuels de facture scolaire. En dépit de ses 120 000 euros de revenus annuels...

Globalement d'ailleurs, 776 familles françaises installées aux Etats-Unis se sont partagées en 2011 une enveloppe de 12 millions d'euros au titre de l'aide à étudier dans un établissement français, alors que les 1 470 familles résidant àMadagascar, souvent binationales et percevant des salaires locaux, se partageaient la moitié de cette somme.
articles publiés sur le site Le Monde

quinta-feira, 17 de janeiro de 2013

Semaine des Collaborateurs : articles choisis par Cristiano Peralta et Joel Martins



Lille, le mois qui peut tout changer
En trois semaines, le LOSC peut se relancer en L1, se qualifier pour la finale de la Coupe de la Ligue et poursuivre sa route en Coupe de France. Ou vivre une fin de saison très longue.
C’est maintenant que ça se joue. Les footballeurs de France et de Navarre, élevés au même grain de la communication, argueront qu’il faut voir « match après match». N’empêche, Lille en saura beaucoup plus sur son destin à la fin du mois de janvier. Dans l’intervalle, le LOSC va aller défier Nancy samedi avant de recevoir Nice et d’aller au Parc des Princes. Il jouera surtout une demi-finale de Coupe de la Ligue mardi prochain à Saint-Étienne, un objectif majeur pour le groupe de Rudi Garcia. « J’ai déjà dit que l’année du doublé, notre parcours en Coupe de France avait été prépondérant, souligne par exemple Florent Balmont. Cela avait permis à tout le groupe de rester sous tension et les victoires engendraient les victoires ». Cette saison, en l’occurrence, la Coupe de la Ligue est le chemin le plus rapide pour accéder à une qualification européenne qui est loin d’être acquise en Championnat.
Alors que le président Michel Seydoux a assuré jeudi qu’il n’imaginait pas que son club ne termine pas dans les cinq premiers – « Ce serait une faute professionnelle grave si le classement ne correspond pas aux ambitions du club » - les joueurs de Rudi Garcia ont l’occasion de confirmer l’élan retrouvé en fin d’année dernière avec la victoire contre Montpellier (4-1). Surtout face à un Nancy lanterne rouge et en pleine crise : «Ce qui est certain, c’est que l’équipe est bien mieux et produit du jeu depuis quelques semaines, souligne Rudi Garcia. Le moment est important, même si le Championnat est long. On a besoin de transformer notre trop grand nombre de nuls en victoires. On a besoin d’être plus proche des positions européennes. »

Avec une victoire en Lorraine, Lille qui n’est qu’à deux points de la cinquième place, pourrait déjà voir plus haut. Mais cette saison, il a souvent raté les virages importants contre des équipes en difficulté (Lorient, Sochaux, Reims notamment). «On a vu contre Nîmes qu’on a pris deux buts quand on s’est relâché. On a eu des avertissements depuis le début de la saison, à nous d’enfin retenir les leçons », souligne Pedretti. Une bonne résolution pour 2013.




Seydoux :«On va rentrer dans le rang»


Dans une longue interview qu’il a accordée ce jeudi, en fin d’après-midi, à Camphin-en-Pévèle, Michel Seydoux, président du LOSC depuis 2002, s’insurge contre l’analyse qui est faite, sur les comptes de son club. «Il y a une incompréhension entre notre déroute en Ligue des champions à Munich (1-6) et l’information parue dans un journal économique selon laquelle je réfléchissais sur l’avenir du club et son éventuelle cession», explique-t-il notamment dans cet entretien à paraître dans L’Equipe de ce vendredi. «Je suis actionnaire principal depuis plus de dix ans, ajoute-t-il. Je serai là cette saison et encore la prochaine. Il n’y a pas urgence pour vendre.» Le boss du LOSC convient toutefois que son équipe va travailler sur la post formation et réduire son train de vie comme sa masse salariale la saison prochaine. «On va rentrer dans le rang», confirme-t-il.

L’EQUIPE

Dakar-2013: mort d'un concurrent français en moto
Le Français Thomas Bourgin, concurrent moto du Dakar-2013, est décédé dans un accident de la circulation au Chili alors qu'il effectuait vendredi matin le trajet de liaison devant le conduire au départ de la spéciale de la 7e étape, ont annoncé les organisateurs.
"L'accident a eu lieu à 08h23 au km 237 du parcours de liaison, dans la montée vers la Cordillère, côté Chili. Le jeune pilote de 25 ans est entré en collision avec une voiture de carabiniers chiliens qui arrivait en sens inverse. Les circonstances exactes de l'accident font l'objet d'une enquête", a indiqué ASO, société organisatrice de l'épreuve, dans un communiqué.
"Les équipes médicales du rallye dépêchées sur place n'ont pu que constater le décès du pilote, probablement mort sur le coup", poursuit le communiqué.
Thomas Bourgin, originaire de Saint-Etienne où il est né le 23 décembre 1987, occupait la 68e place du classement général de son premier Dakar. Il avait pris la 4e place de l'Africa Race en 2011 avant de terminer 7e du Rallye de Tunisie.
Jeudi, le Dakar avait déjà été endeuillé avec la mort de deux personnes dans un accident de la circulation, impliquant un véhicule d'assistance du rallye.
L'accident, qui avait eu lieu au Pérou 10 km avant la frontière avec le Chili, impliquait un véhicule d'assistance et deux taxis. Les deux victimes étaient le conducteur et l'un des passagers d'un taxi.




Ligue 1 - Le PSG a manqué de reprise
L'année débute mal pour le PSG, accroché par Ajaccio (0-0) au Parc, avec une seconde période à dix (Motta expulsé) et la sortie de Thiago Silva sur blessure.

Ajaccio pourrait ressembler à une bête noire pour le Paris Saint-Germain. Déjà tenu en échec au match aller sur un score vierge, le club de la capitale n’a pas réussi à forcer le verrou corse au Parc des Princes (0-0), lors de la 20e journée de Ligue 1. Dominateurs tout au long du match, même après avoir été réduits à dix juste avant la pause avec un carton rouge pour Thiago Motta, les Parisiens ont manqué de réalisme offensif, ne cadrant que trois tirs sur vingt-six. Ils ont aussi perdu Thiago Silva, sorti sur blessure. Après cette difficile soirée, le PSG pourrait perdre sa place de leader au détriment de Lyon et Marseille, qui jouent samedi et dimanche.
Fort de sa série de quatre victoires consécutives fin 2012, Paris a d’entrée pris les commandes de la rencontre. Suite à une combinaison sur un coup franc de Zlatan Ibrahimovic, Thiago Motta a manqué de peu la cible (12e). Le Suédois, très peu en réussite tout au long du match, s’est ensuite essayé à la frappe mais n’a pas cadré sa volée face au but (31e). Malgré sa large domination, le champion d’automne a peiné à se créer beaucoup d’occasions franches et a même été réduit à dix. Thiago Motta a été expulsé suite à un tacle par derrière sur la cheville de Frédéric Sammaritano (45e).
Le PSG rarement muet
Carlo Ancelotti a effectué un réajustement tactique au retour des vestiaires, avec l’entrée de Clément Chantôme à la place de Javier Pastore. L’entraîneur italien a été forcé à un deuxième changement après 56 minutes, Thiago Silva s’étant blessé sur une reprise d’appui. Sans son capitaine et à dix contre onze, le PSG a tout de même continué de faire le siège du but de Guillermo Ochoa, sans plus de réussite. Le gardien mexicain a sorti le grand jeu face à Alex (61e), sur un centre de Lucas, qui a joué 84 minutes pour ses débuts en Ligue 1. Sakho (71e) et Ibrahimovic (92e) n’ont pas été plus efficaces, terminant seulement leur troisième match, dont deux contre l’ACA, sans faire trembler les filets. Cela n’était pas le cas lors des seize derniers matchs.
Si Paris n’a pas marqué, Salvatore Sirigu peut tout de même se satisfaire d’avoir gardé sa cage inviolée. Face à des Corses très prudents, avec une défense à cinq, Paris n’a subi qu’un seul tir cadré, dans les dernières minutes. Le portier italien reste désormais sur 596 minutes sans prendre de but en Ligue 1. Il s’agit même du treizième clean sheet de sa saison, étant toujours le meilleur de cette catégorie dans les cinq grands championnats européens. Une statistique qui n'arrachera même pas un sourire aux Parisiens vendredi soir.

segunda-feira, 14 de janeiro de 2013

Marseille, capitale européenne de la culture


Ce week-end a été très spécial pour la ville de Marseille et plus de 80 communes alentours : cette année, la cité phocéenne (c'est comme ça qu'on appelle parfois Marseille) est la capitale européenne de la culture. Le titre (c'est notre "mot du jour" !) de capitale européenne est attribué à une nouvelle ville européenne tous les ans depuis 1985  et trois villes françaises l'ont déjà obtenu : Paris en 1989, Avignon en 2000, et Lille en 2004. Ce week-end, la cité phocéenne a célébré l'évènement avec ses visiteurs en organisant  un programme riche en animations : Parcours d'art contemporain, Parade des Lumières, la Grande Clameur... Toute l'année 2013, des centaines de manifestations culturelles et artistiques auront lieu sur tout le territoire de Marseille et de la Provence. Le public est donc invité à participer aux nombreux évènements organisés dans les musées, les théâtres, ou en plein air, en ville ou en campagne.
Pourquoi appelle-t-on Marseille "la cité phocéenne" ?
Dans ta "une", nous t'expliquons que l'on appelle parfois Marseille "la cité phocéenne". Mais sais-tu pourquoi ? En fait, c'est parce que le port de Marseille a été créé vers l'année -600 avant Jésus Christ par des marins grecs originaires de la ville de Phocée (des Phocéens donc !) qui fuyaient les invasions perses de cette époque. En arrivant, ils furent frappés par la ressemblance de la calanque de Lacydon (qui correspond aujourd'hui au célèbre Vieux-Port) avec leur ville d'origine et c'est pour cette raison qu'ils ont décidé de s'y installer.

quinta-feira, 10 de janeiro de 2013

Soli'Mômes, un projet de crèche itinérante


Pas facile de faire garder ses tout-petits quand on est une maman des cités, surtout quand on vit seule... Pour venir en aide à toutes ces mères, Valérie Malhouitre a eu l'idée d'un projet nommé Soli'Mômes qui a été récompensé par le prix Entreprendre dans nos Quartiers du concours Créatrices d’Avenir. En effet, il veut créer une crèche itinérante, c'est-à-dire qui se déplace pour garder les enfants : ce sera un car qui transportera à la fois l’équipe et le matériel de puériculture allant de la table à langer aux mini toilettes en passant par les petits lits. Il sera proposé dès septembre 2013 à une trentaine de mamans. Retiré du site les petits citoyens du 10 janvier.


L´argent de poche, ça compte ???




Certains enfants ont de l'argent chaque mois, d'autres pas. Mais presque tous ont déjà reçu une pièce ou un billet pour une occasion particulière. Que font-ils avec leurs sous ?
On dirait parfois que l'argent est un sujet tabou [interdit], alors que c'est l'une des principales préoccupations des gens. Les enfants, eux, n'ont pas honte d'en parler... et d'en réclamer. À Noël, 1 enfant sur 3, tous âges confondus, a demandé de l'argent en cadeau. Et, dès 8 ans, la plupart des jeunes (7 sur 10) ont de l'argent de poche. Les parents acceptent d'en donner car ils veulent qu'ils sachent très tôt gérer un budget. Est-ce efficace ? Oui ! Selon une étude de 2008, les enfants dépensent peu : ils économisent pour faire de gros achats. Oncle Picsou serait presque fier de vous !
 Les étrennes, qu'est-ce que c'est ?
Vous avez peut-être reçu de l'argent pendant les fêtes. On appelle cela des étrennes. C'est une tradition qui remonte à l'Antiquité. Pendant longtemps, on n'offrait pas de cadeaux à Noël à la famille et aux amis, mais de l'argent à l'Épiphanie. La tradition perdure. Dans certaines familles bourgeoises, des grands-parents donnent encore des louis d'or à leurs petits-enfants. Ces pièces anciennes datent de l'époque des rois. Le prix d'un louis d'or varie de 500 à 1500 euros. Parfois plus !
Et vous, recevez-vous de l'argent de poche ? Et qu'en faites-vous ? Racontez-nous !
retiré du site le journal des enfants du 10 janvier  

La Légion d´Honneur


618 personnes ont été choisies, le 1er janvier, pour recevoir la Légion d’honneur. Parmi elles, tu connais sûrement Teddy Riner ou Florent Manaudou ? Mais peut-être aussi l’acteur français Bruno Podalydès ou l’ancien président d’Emmaüs France, Martin Hirsch ? La légion d’honneur est la plus haute distinction accordée par l’État. Cette médaille, dont la taille du ruban varie en fonction du grade, est remise chaque année par le président de la République ou une personne déléguée.
D’où vient la Légion d’honneur ?
La Légion d’honneur a été créée par une loi, le 19 mai 1802. C’est Napoléon Bonaparte qui est à l’origine de cette marque d’honneur, ou distinction. L’idée étant de récompenser des militaires mais également des civils pour leur mérite (voir mot du jour).
La Légion d’honneur est un ordre. Il existe cinq grades différents. Du plus petit au plus grand : les chevaliers, les officiers, les commandants, les grands officiers et les grand-croix. 80 % des personnes qui reçoivent la Légion d’honneur sont faits « chevalier ». Mais il est possible, au cours d’une vie, de passer d’un grade à un autre.
Aujourd’hui, le nombre de légionnaires (le nom donné aux décorés) est de 93 000. Parmi eux, 66 sont « grand-croix », la plus haute distinction, dont le président de la République. Quand François Hollande est devenu chef d’État, il a été décoré de la Légion d’honneur. Il est ainsi devenu le grand maître de cet ordre.
À l’époque de Napoléon ou après les deux guerres mondiales, les militaires étaient le plus souvent décorés. De nos jours, ce sont plutôt les civils. Et depuis la loi sur la parité en 2007, sont nommés autant d’hommes que de femmes.
Qui peut recevoir cet insigne ?
Des hommes ou des femmes qui ont, par leurs actions, honoré ou servi la France. Il peut s’agir de chercheurs, de professeurs, de chefs d’entreprise, de philosophes, de policiers, de pompiers, de chanteurs, de personnes connues ou d’inconnus. Leur point commun étant d’avoir agi pour la communauté et d’avoir eu un parcours exceptionnel.
Louis Pasteur, dont les recherches ont permis de soigner la rage, une maladie très grave, a reçu la Légion d’honneur en 1881.
Depuis 1988, les sportifs sont également récompensés. Pour recevoir la Légion d’honneur (au grade de chevalier), il faut qu’ils gagnent une médaille d’or aux Jeux olympiques.
Qui choisit ?
On ne peut pas se présenter pour recevoir la Légion d’honneur. Les candidats sont proposés par les ministres et choisis par un conseil. C’est ensuite le président de la République qui signe les nominations.
Peut-on refuser cette médaille ?
Oui, mais c’est assez rare. Cette année, Jacques Tardi, un dessinateur de bande dessinée (Adèle Blanc-Sec, Le Cri du peuple), l’a refusée. D’autres l’avaient décliné avant lui, comme les écrivains Jacques Prévert et Albert Camus ou les physiciens Pierre et Marie Curie. Ces refus sont la plupart du temps une façon de s’opposer à la politique menée par le gouvernement. Ou, comme dans le cas de Tardi, de choisir de rester libre, en refusant d’appartenir à un ordre.
article retiré du site 1 jour 1 actu du 10 janvier 


sexta-feira, 4 de janeiro de 2013

Rallye Dakar 2013


 Demain, 5 janvier, à Lima au Pérou (Amérique du Sud), vont s'élancer les 750 concurrents du rallye Dakar. Pour la première fois, d'anciens soldats britanniques et américains, handicapés à la suite de blessures en Afghanistan, prendront place dans les bolides.

Le Britannique Anthony Harris, 31 ans, va courir son 1er rallye Dakar cette année.
C'est un vétéran [ancien soldat] d'Afghanistan où il a perdu sa jambe gauche en 2009. Il est membre de l'armée royale britannique.
Malgré son corps meurtri, il a voulu s'engager dans des compétitions où il n'y a pas de distinction entre "valide" et "handicapé". C'est le cas dans le sport automobile.
L'écurie Race2Recovery, convaincue par son courage et son mental d'acier, lui a proposé de courir avec la seule pilote française du rallye : Catherine Derousseaux.
Ils partiront avec une voiture spécialement équipée : elle dispose d'embrayage tenant compte de la non-sensibilité du pied d'Anthony Martin, qui porte une prothèse en carbone. Pour Anthony Harris, c'est la preuve qu'"avec de la technologie, avec l'espoir, on peut faire de belles choses".
Un sponsor royal !
L'histoire d'Anthony Harris a même séduit le prince Harry d'Angleterre (le petit frère de William), rencontré lors d'une opération en Afghanistan. La cour d'Angleterre le soutient financièrement. Les armes de la famille royale sont inscrites sur la voiture !
Comme Anthony Harris, plusieurs anciens soldats britanniques et américains, blessés en Afghanistan, vont prendre le départ du rallye Dakar. article retiré du site le journal des enfants du 4 janvier